Le succès de vos prochains recrutements de représentants repose sur plusieurs facteurs, dont le premier est le fait d’attirer des candidats de qualité. Parmi les tactiques utilisées par les entreprises québécoises pour susciter l’intérêt de bons vendeurs B2B, la rémunération est encore sous-exploitée.
Pourtant, il s’agit d’un facteur d’attraction indéniable, mais encore faut-il savoir comment en tirer profit.
Voici nos 5 conseils pour y parvenir.
1. Afficher clairement la rémunération dans l’annonce
Même si généralement la rémunération potentielle n’est pas affichée distinctement dans les offres d’emploi, vous avez intérêt à le faire pour attirer de bons vendeurs. Par contre, il faut respecter certaines règles de cohérence entre le niveau de responsabilité du poste, l’industrie et la rémunération, pour que celle-ci soit attractive pour les meilleurs candidats.
Par exemple, dans le secteur manufacturier ou industriel au Québec, un salaire de base allant de 65k$ à 90k$ avec une portion variable additionnelle de 20k$ à 60k$ permettra généralement d’attirer les représentants de haute qualité.
Un bon représentant B2B devrait être capable de gagner entre 90k$ et 150k$ par année, s’il atteint les objectifs de vente.
2. Offrir une avance de commissions non remboursable
Pendant la période d’intégration, il est essentiel de rémunérer adéquatement les nouveaux représentants en compensant les commissions qu’ils ne sont pas en mesure d’obtenir, étant donné qu’ils débutent leur nouvel emploi.
La meilleure pratique consiste donc à offrir une avance de commission non remboursable. C’est-à-dire qu’en plus du salaire fixe, vous allouez un montant mensuel au représentant qui se substitue en partie ou en totalité à ses commissions. C’est pourquoi il est nécessaire de calculer la durée de la période d’intégration pour les postes en vente. Regardons 2 scénarios différents.